Pacôme ► Un mec Pacôme les autres.

mirror, mirror

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(1) A l’adolescence Pacôme voulais être rappeur et ce fessais appeler par ces amis « Côpame » ce qui es plutôt ridicule on va dire. (2) Du haut de ces 1m80 Pacôme a peur des araignées mais pas la petite peur non le méga giga peur le truc qui vous irise les poiles sur tout le corps. (3) Pacôme adore le chocolat, mais vraiment. Il en est tellement fou que plus d’une fois il a finis à l’hôpital à cause de crise de fois violente. (4) Plus jeune es après s’être dit qu’être rappeur c’était nul il a eu sa période gothique. (5) Pacôme a ce tique que beaucoup de gens on mais ne se rendre pas compte c’est de ce mordre la lèvre d’en bas pour réfléchir, ce qui le rend d’ailleurs très charment.(6) Il adore ce faire craqué les doigts. (7) Pour s’endormir le soir il aime bien mettre de la musique classique dans ces oreilles, il parait que ça le berce. (8.) Plus jeune ces parents l’o forcé à apprendre le piano, un échec monstrueux. (9) Sont genre de femme c’est plutôt petite brune avec des formes. (10) Il aurait voulue travaillé dans la finance mais malheureusement c’est parents l’on en empêché. (11) Sa grande sœur es sont modèle. (12) Il est très doué en peinture.(13) Il adore les chats. (14) Sa première copie était rousse, grosse et avait l’odeur de chèvre brûlé. (15) Il est fâché avec son père (16) Pacôme est très exigent avec lui-même. (17) Têtu comme un âne il ne vous laissera jamais croire que vous avez raison.

my life as a duck

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Douze Juin Deux-mille dix. 12h35. hôpital.

A l’extérieure les gens semblent serein, il y a cette femme perché sur des talons de dix centimètre au rouge à lèvre rouge pétard qui semble tellement sûre d’elle. Il y a ce couple d’amoureux, a les voires s’embrassé encore et encore il venaient surement juste de ce marié. Il avait ce petit garçon haut comme trois pommes qui tenait fermement la main de son papa pour traverser la route. Oui il y avait tellement de gens serein puis il y avait les autres. Cette dame qui sortait de l’hôpital après avoir appris le décès de son fils unique. Cette petite fille qu’on arrache au bras de sa maman et qu’elle ne reverra plus jamais. Pacöme fait partie de la deuxième catégorie, la vie es triste parfois. « Je suis désolé Mr..Votre femme n’as pas survécu » Quand on vous annonce ça vous avez deux réactions : La colère, la rage, la haine contre les médecins qui ne l’on pas sauvé, contre vous-même. La deuxième réaction es que vous voyais votre monde s’écroulé, vous faite du marchandage avec dieu « Si tu me rends ma femme, je ferais tout ce que tu veux…Pitié » Mais cela ne marche jamais. Pour Pacôme c’était la colère qui l’avait envahie. Il regarda le médecin puis cogna contre le mur blanc du couloir de l’hôpital. Puis il tourna le dos immédiatement au médecin pour pleurer doucement les deux mains sur le visage. Pendant ce temps-là une femme brune traversa les couloirs en courant, l’air grave. Elle poussa une dizaine de gens, laissa même tombé son sac puis vue Pacôme et ce jeta dans ces bras « Pac.. » Elle ne put continuer que le jeune homme la serra fort, tellement fort. Il desserra sont étreinte et fixa la jolie brune « Sandy..Elle est morte » La jeune femme s’écroula au sol en sanglot « NON ! ». Le médecin regarda la scène, que pouvais-t-il faire ? Rien à vrais dire, ce pauvre jeune médecin n’avais que 25 ans et il aller devoir vivre ce genre de scène encore des milliers de fois.

Quelques temps après , la douleur était la même mais la colère avait disparu. Pacôme était dans sa chambre, enfin la chambre qu’il occupé il y a encore trois semaines avec Inès sa femme. Il était assis sur le lit un book de photo dans les mains. Pacôme passa ses doigts sur chaque trait du visage de la jolie brune puis une larme tomba en plein milieu « Comment je vais faire sans toi ? Tu m’avais promis que sa serai pour toujours..Comme si t’allais me répondre. » Il lâcha la photo et s’endormis les yeux rouge. Cette douleur partira-t-elle un jour ? Non il le savait.

Bienvenuuuuue